Bill débarque de son Texas natal pour visiter la French country. Soumise aux hautes pressions atlantistes, cette province de l’Europe communautaire est constamment battue par les courants d’ouest dominants. Il y observe les institutions et les mœurs curieuses des indigènes. Voici sa correspondance avec son ami Jonny resté au Texas.
4e de couverture
C’est voltairien, ça joue avec les mots :’’sous les jeux de mots, se joue le drame des choses”…Ces Lettres Texanes ont le bon goût de la liqueur forte qu’on prend à petites doses pour mieux la savourer…
Raymond Ménard – Paris Normandie
…René Ballet cisèle à petits coups de burin le portrait pathétique de l’époque…
Jean-Pierre Léonardini – L’Humanité
…Ce mince et plaisant recueil ne se cache pas de viser à la cruauté. Il y parvient souvent.
Alain et Odette Virmaux – Europe
…C’est une peinture incisive, d’un certain nombre d’idées reçues…II y a dans cette démarche un lien secret qui unifie l’ensemble, un courant anticonformiste et oxygénant.
Monique Houssin – Humanité Dimanche
…”Paris est redevenu le gay Paris. Saisi par une véritable fièvre de consommation: on fait la queue partout. Devant chez Fauchon, comme devant la nouvelle chaîne des restaurants du cœur. Même devant les agences de voyage ANPE…” : quelques phrases qui ouvrent la nouvelle création de René Ballet « Lettres Texanes »… .C’est un petit livre qui rassemble les lettres d’un jeune américain à son ami resté à Dallas. Des observations pas toujours naïves qui font rire et… peut-être nous mettent en cause…