René Ballet nous invite à une sorte de promenade à travers les trente-cinq premières années de L’Humanité. Rien n’a été changé à la forme originelle. C’est le document écrit sur le champ avant le “bouclage”. Le document saisi à la sortie des rotatives. C’est encore tiède et ça salit les mains. Mais c’est le charme de l’actualité.
4e de couverture
René Ballet a fait le choix honnête de n’écarter personne, même si des collaborateurs du journal se sont ensuite éloignés des positions qu’ils défendaient.
Bruno Peuchamiel – L’Humanité
Puissent tous ceux qui écrivent s’inspirer de ces pages afin de garder à ce métier sa véritable noblesse.
Raymond Ménard – Paris-Normandie
La préface de René Ballet constitue une authentique contribution à la réflexion théorique.
Jean-Claude Lebrun – L’Humanité
…La présence de tant de signatures brillantes dans les pages du premier journal socialiste quotidien provoqua d’ailleurs un jeu de mots qui fit florès à l’époque : “ Ce n’est pas l’Humanité, mais les humanités…”
Claire Paulhan – Le Monde
« Des plumes prestigieuses ont écrit pour l’Humanité, de sa création en 1904 à son interdiction en 1939. Une forte anthologie regroupe des textes de 90 d’entre elles de Renoir à Mermoz, d’Aragon à Tzara, de Dullin à Barrault, de Pablo Casals à Honegger. C’est tonitruant, polémique, ravageur, cocasse, borné, vengeur, lyrique. »
Instant (Belgique)
Une « promenade » à travers les trente-cinq premières années de l’Humanité, de sa création par Jaurès en 1904 à la veille de la seconde Guerre Mondiale.
René Ballet a sélectionné les textes de 90 auteurs, d’Alain à Marcel Willard, sans oublier Jaurès, Tolstoï, Politzer, Langevin, Blum. Les uns et les autres évoquent la Guerre du Rif, l’aviation, les arts, le racisme, etc.